Ainsi, sa position dans la capitale de la section continentale du Royaume de Sicile, devenue par la suite Royaume de Naples, va progressivement accorder à ce siège épiscopal une influence grandissante, sur le Saint-Siège lui-même, notamment à l'occasion des nombreux conflits entre le Pape et l'Empereur, en même temps que le premier rang dans l'Eglise de l'Italie méridionale (d'une certaine manière, il occupe pour le sud de l'Italie, une place comparable à celle occupée par Milan dans le nord).
Toujours très important aujourd'hui, l'Archidiocèse de Naples a maintenant pour suffragants les Diocèses d'Acerra, d'Alife-Caiazzo, d'Aversa, de Caserte, d'Ischia, de Nola, de Pozzuoli, de Sessa Aurunca, de Teano-Calvi, ainsi que les Archidiocèses de Capoue et Sorrento-Castellammare di Stabia, qui ont perdu leur rang métropolitain lors de la réorganisation de 1979, et enfin de la Prélature territoriale de Pompei.
Serait-ce un effet de la visite d'une certaine exposition au Musée Maillol ? ;)
RépondreSupprimerNon, c'est un pur hasard. Je planifie les diocèses sur une longue période en essayant d'alterner un siège français avec un siège non-français. Il se trouve que depuis quelques mois je préparais Naples.
SupprimerAinsi, et sans être totalement encore fixé, il n'est pas impossible que le prochain diocèse non-français soit choisi, et ce serait une première, hors d'Europe, tandis que le prochain français, sera probablement, comme il avait été le cas avec Alet, un siège aujourd'hui disparu.
Un beau hasard donc !
RépondreSupprimerJe peux y retourner dans quelques semaines, et je crois avoir vu quelques armes de prélats à cette exposition. Donc si vous avez quelques demande ...
Comme vous le verrez dans les jours qui suivent, j'ai quelques manques parmi les médiévaux, ainsi que les armes de l'Archidiocèse lui-même dont je ne suis pas certain.
SupprimerEn ce qui concerne l'archidiocèse, ça correspond tout à fait à ce que j'ai vu dans l'exposition.
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