Archiduc d’Autriche, Prince de Hongrie et de Bohême
Ces armoiries, ne sont qu’un essai de reconstitution de ce qu’auraient été ses armoiries en tant qu’Archevêque de Cologne et Evêque de Munster. En pratique, n’étant resté, en raison de l’occupation française, qu’Archevêque élu, aucunes armoiries d’Archevêque n’ont été adoptées. Devenu Grand-Maître de l’Ordre Teutonique, il adoptera de nouvelles armoiries : la croix de l’Ordre Teutonique (4e modèle) formant un écartelé : I, parti : 1, fascé (8) de gueules et d’argent (Hongrie ancien) ; 2, gueules, à la croix patriarcale pattée d'argent, issante d'une couronne d'argent, plantée au sommet d'un mont de trois coupeaux de sinople (Hongrie nouveau) ; II, de gueules, au lion d’argent, armé, lampassé et couronné d’or, la queue fourchée passée en sautoir (Bohême) ; III, parti : 1, d’argent, à la givre d’azur, engoulant de gueules et couronnée d’or (Milan-Lombardie) ; 2, d’azur, au lion de Saint Marc d’or, le livre d’argent, sur une terrasse de sinople (Venise-Vénétie) ; IV, parti 1, d’azur, au corbeau de sable, sur une divise de gueules, surmontant trois couronnes d’or (Galicie) ; 2, d’azur, à deux fasces échiquetées d’argent et de gueules (Lodomérie) ; sur-le-tout de la croix, parti : 1, parti de deux : a, d’or, au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d’azur (Habsbourg) ; b, de gueules, à la fasce d’argent (Autriche) ; c, d’or, à la bande de gueules, chargée de trois alérions d’argent (Lorraine) ; 2, d’azur, à l’aigle d’argent, becquée, languée et couronnée d’or (Este-Modène).
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