Gérard Denis Auguste Defois
(Nueil-sur-Layon, 5 janvier 1931 - )
Archevêque coadjuteur de Sens (1990),
puis Archevêque de Sens et Auxerre (1990),
puis Archevêque de Reims (1995),
puis Archevêque-Evêque de Lille (1998)
puis Archevêque de Sens et Auxerre (1990),
puis Archevêque de Reims (1995),
puis Archevêque-Evêque de Lille (1998)
Monseigneur Defois est officier de la Légion d'honneur et commandeur de l'Ordre national du Mérite
RépondreSupprimerOui, mais comme nous sommes ici postérieur à l’instruction "Ut sive sollicite" du 31 mars 1969, on ne peut plus représenter que les ordres à caractère religieux (ex : Malte ou Saint-Sépulcre) ou ceux dans lequel le prélat occupe une fonction protocolaire (ex : Grand-Prieur de l'Ordre de...). Pour tous les autres, on ne doit plus les représenter. Pour mémoire cette instruction vaticane bannit également la représentation des mitres et des crosses parmi les ornements extérieurs des Evêques, Archevêques et Cardinaux.
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas cette instruction, d'où mon erreur, mais après lecture de la version anglaise (peut-être réduite), je ne vois pas mention des décorations. Il est fait mention de la mitre et de la crosse, ainsi que les armes doivent être simples et claires, mais je ne vois rien sur les décorations. Pouvez-vous m'éclairer ?
RépondreSupprimerCordialement
Frison
Effectivement, si l'on suit la lettre de "Ut sive sollicite", seules la crosse et la mitre sont explicitement prohibés dans l'article 20 de l'instruction. Maintenant, ce même article 20 prévoit aussi un principe de "simplicité et de clarté" (simplex atque perspicuus) dans le dessin des armoiries, et force est de constater que la pratique a considéré qu'au titre de ces "simplicité et de clarté" les médailles et décorations sans rapport avec la religion, ainsi d'ailleurs et manifestement aussi les traditionnels cartouches épiscopaux devaient également ne plus être représentés.
RépondreSupprimerDu coup et en pratique, seuls le chapeau, la croix, la devise et le cas échéant le pallium échappent en pratique à cette prohibition semi-tacite.