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C'est pas pour dire, mais ces armoiries sont nettement plus réussies que celles que les indigènes mettent sur leurs sites officiels ou le drapeau. D'ailleurs, ça vous arrive de recevoir des requêtes officielles ?
RépondreSupprimerEn ce domaine des "institutionnels", les seules demandes que j'ai eu émanaient de petites communes françaises...
RépondreSupprimerPar ailleurs, il y a plusieurs années, j'ai eu une fois l'occasion d'effectuer un travail pour un pays issu du démembrement de l'ex-URSS, mais cela n'a finalement pas abouti.
Dommage. Ce serait quand même plus logique de se tourner vers quelqu'un comme vous plutôt que de de verser des milliers d'euros à un cabinet de comm qui concevrait un "magnifique" logo. Ceci dit, ça n'est peut-être pas non plus ce que vous recherchez.
RépondreSupprimerEffectivement, je ne fais aucune démarche particulière pour "rechercher de la clientèle", toutefois bien entendu, lorsque l'on me sollicite, ne serait-ce que pour avis, j'offre évidemment mon aide.
RépondreSupprimerMais bon, comme vous l'avez noté, nous sommes à une époque de logos. D'un côté, les "institutions" se prennent pour des marques commerciales, au même titre que des paquets de pâtes (j'adore les pâtes) ou des marques de mode (je suis à la mode... oui, mais de quelle année ?). De l'autre côté, une partie importante du public, n'a plus de culture historique. Ce qui a pu se passer il y a deux ou trois ans relève déjà de l'antiquité, alors lorsque l'on renvoie a des références historiques de plusieurs siècles en arrière, on ne se situe même plus dans la préhistoire, on est carrément sur une autre planète.
Du coup, j'avance à mon rythme, sans tambour ni trompette, je propose gratuitement un maximum de choses à qui le souhaite. On aime ou l'on n'aime pas ce que je fais, peu importe. Etant profondément libéral, je n'oblige personne à me suivre, simplement j'avance et invite qui le souhaite... Ensuite appréciera qui le voudra... et finalement rendez-vous au tas de sable.